Porn games, Sex chat

Hello. I am Catherine from France

- Strip in room is a good idea
- Shower will be very exciting

- I suggest a new "foreplay" : lying on the bed, caressing each other, kisses, fondle breasts, belly, toght, pussy, cock, fellatio, cunilingus. The partners have the same actions to the other

Hello.
In the scene "Foreplay", on bed, it would be very nice that the parterns touch the genitalia of the other. Not rubbing or masturbate. only touch  (like in the slw dance scene. I think it's possble and not difficult to realize.
TY

Cath

Hello

I have a chubby body.
It would be very nice to be like that. Bigger breasts and hips. A little belly.
 
It is not possible ?

Cath

De petites histoires vécues en français.

Premiers jeux... il y a longtemps
Depuis que je suis toute petite, la sexualité ne m'a jamais posé de problème. J'ai toujours vu mes parents et mon frère nus, sans honte ni curiosité malsaine. Ça a toujours été normal à la maison, là où la nudité est naturelle, la salle de bain par exemple.J'ai pris mon bain maintes fois avec ma mère et avec mon frère jusqu'à passé 17 ans, sans pensées "perverses".

J'avais, très jeune, un "petit ami", un voisin très gentil avec qui je partageais tous mes jeux d'enfant.
Un jour pluvieux de vacances, nous nous étions retrouvés dans sa chambre, ne sachant pas tellement quoi faire pour passer le temps. C’est moi qui a proposé de jouer "à la visite médicale" (ma vocation d'infirmière qui débutait !). Nous avions 8 -9 ans et étions poussés par une sorte de curiosité sur l’autre sexe, sans vraiment l’avouer. Il prit l’initiative.
- C’est moi le docteur
- J’aimerais bien aussi !
- Après ce sera toi
J'acceptai le compromis.
- Je fais quoi ?
- Tu te déshabilles, tiens !
- Complètement ?
- Tu peux garder ta culotte
Rassurée par cette réponse, j'enlevai mon short et le T-shirt que je portais uniquement ce jour là. Ce n’était qu’un jeu et il "fit semblant" de m’ausculter comme un médecin.
- Couche toi
Je m’étendis sur le lit. Il me palpa le ventre.
- Soulève toi un peu
Je soulevai mon bassin. Il passa ses doigts sous l’élastique de ma culotte et la fit glisser sur mes cuisses. Il regardait ma vulve avec intérêt. Il m'écarta un peu les jambes. Il aurait sans doute voulu en (sa)voir plus mais je me levai du lit.
- A toi maintenant
Interloqué, il s’exécuta. Le problème était que tout cela lui avait procuré une érection qu’il avait honte de découvrir. Il était en slip devant moi.
- Tu ne te rhabilles pas ?
- Ça te dérange ?
- Non, pas du tout
IL se coucha sur le lit. Je procédai alors à la "visite médicale". Lorsque je baissai le slip, sa verge surgit, tendue vers le haut.
- Pourquoi ton zizi est tout dur ?
- Sais pas, c’est quand je t’ai vue toute nue
Incrédule, je touchai le membre dressé de mon petit ami. Je m’ étonnai de sa raideur sans plus.
- Et moi, je peux toucher ton kiki ?
- Si tu veux, mais ça ne s’appelle pas un kiki ! C’est une vulve
Je m’étendis près de lui et il put me toucher les lèvres intimes. Ce contact me fit frissonner, agréablement. Ne sachant quoi faire d’autres, nous nous sommes rhabillés et nous avons continués nos jeux d’enfants.

En route vers l'adolescence

Durant la première partie de ma vie ( et même après ...), je n'ai jamais eu de problèmes avec la sexualité. Mes parents nous ont élevés mon frère (deux ans plus jeune) et moi dans le respect de l'autre et de soi. Sans fausse pudeur aussi, mais sans exhibitionnisme. J'ai toujours eu une grande complicité avec ma mère et mon frère.
Nous adorions prendre notre bain avec maman dans la grande baignoire. Elle était et est encore très jolie car elle a toujours pris soin de son corps. J'étais émerveillée par ses seins (105D je crois maintenant) et sa toison pubienne, moi qui n'avais à ce moment là que deux petits boutons à peine visible et une fente glabre entre les jambes. Elle nous lavais, nous essuyais, un vrai bonheur.
La plupart du temps, c'est-à-dira quasi tous les jours, avant le coucher, je prenais mon bain avec mon frère.C'est d'ailleurs resté une sorte de "rituel" jusqu'à passé mes 17 ans. C'était surtout un moment où nous discutions beaucoup, de tout et de rien, où nous nous faisions des confidences.
A la puberté, nous avons vécu la transformation de nos corps de façon très normale. J'étais fière de devenir une femme. Ma poitrine s'est vite développée. En classe, c'est moi qui avais la plus grosse (je n'ose pas dire la plus belle ...). Dans les vestiaires, à la salle de sport ou la piscine, mes copines regardaient mes seins avec un œil envieux. Moi je faisais exprès de me promener nue devant elles. La plupart étaient très pudiques, coincées même.
Mon frère et moi partagions la même chambre, séparée par une cloison. Une nuit (il devait avoir 11/12 ans), il s'est mis à pleurer au point de me réveiller. Ça n'était jamais arrivé. Je suis allée voir ce qui se passait. Il était paniqué à mort. Je lui demandai la raison. Il baissa le drap et me dévoila une érection qui lui faisait mal au point de pleurer. J'avais déjà remarqué dans la baignoire que sa verge grossissait parfois mais jamais à ce point. Je ne savais quoi faire et lui non plus. J'ai appelé les parents. Il lui ont dit que c'est parce que il devenait un homme et l'ont fait uriner, ce qui a fait cession l'érection. Ça m'avait quand même troublée. Je me souvenais de mon petit voisin qui s'était mit à bander en me "voyant toute nue". Je ne tardai pas à en savoir plus.
Pas longtemps après, je m'étais réveillée très tôt. Je m'apprêtais à me lever quand j'entendis de drôles de sons venant de la chambre des parents. Curieuse, je m'approchai. La porte était restée entrouverte. La lampe de chevet allumée diffusait une lumière douce. Ils étaient nus. Ma mère, à genoux, tenait en main la verge de mon père qui lui caressait les seins. Soudain elle se pencha et prit le membre en bouche. Elle le suçait avec application et lui gémissait de plus en plus. C'était la première fois que je voyais une fellation et je ne pouvais m'en détacher les yeux. Cela semblait si naturel, si normal que je ne m'en offusquais pas. Au bout d'un moment, elle s'assit sur le ventre de mon et je vis la verge de mon père entrer en elle en longs et lents va-et-vient. Le plaisir qu'ils éprouvaient, l'amour qui se dégageait de cet acte me faisaient chaud au cœur ... mais aussi ailleurs. Ils se sont retournés en "missionnaire" mais j'ai eu peur d'être surprise et suis retournée dans mon lit. Une douce moiteur s'était installée entre mes cuisses. J'y portai les doigts. Un choc quasi électrique. Instinctivement, mon index parcourait ma fente de plus en plus humide, attiré vers le petit bouton qui avait grossit sous la caresse. Mon premier orgasme me cloua de plaisir. Épuisée, je me suis rendormi tout de suite. Je venais de découvrir la masturbation. Je ne m'en suis jamais lassée même si maintenant, je ne la pratique qu'occasionnellement. J'ai mieux ...

It's really a very good idea